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    Le futur n'existe pas, nous sommes toujours aujourd'hui.


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    C'est terminé, fini, the end.

    Sentiment étrange de vide me suit partout,

    mais il partira bientôt,

    c'est la culpabilité qui me ronge encore.

    Mais tout cela était pour le mieux,

    Pour lui et moi.

    Je suis triste d'avoir perdu un ami en fait,

    C'est plutôt cela, car notre relation fonctionnait très bien,

    mais au stade amical, et pas plus.

    Nos caractères se cotoyaient, mais ne s'entrechoquaient pas,

    Ils se soutenaient, sans demander quoi que ce soit.

    Une fois que les âmes se mélangent trop,

    Une veut que l'autre comble ses manques, ses désirs, ses besoins.

    On ne peut cependant pas changer les autres.

    On ne devient pas quelqu'un en s'adaptant aux autres selon moi,

    Ce sont tous et toutes qui doivent accepter les autres, point final.

    On ne peut changer le monde, mais on peut se changer soi-même.

    Ca commence par la.

    Demain est un nouveau jour, ne regardons pas derrière, car on ne peut plus rien changer.

     


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    Des mois d'imcompréhension,

    de questions existencielles,

    Elles n'aboutissent nulle part et ne le feront jamais.

    Un mur de glace nous sépare,

    Il bloque le chemin et la venue de tous ces sentiments,

    Mais lui est de feu, il peut le transpercer,

    mais je reste de glace, donc je ne fais que l'entendre.

    Mes gestes sont invisibles, surtout pour lui.

    Mais il a raison, ils le sont probablement.

    C'est parce que mes gestes doivent être guidés par des pensées, des désirs,

    et ceux-ci sont presque inexistants dorénavant.

    Je ne sais pas comment je pourrais rester dans cette course qui tourne en rond sans cesse,

    Mais je crois que je dois faire comme je fais toujours, suivre mon intuition,

    Mais cette fois-ci elle ne me dit rien de très bon.

    C'est mauvais, je le sens. C'est malsain, tel un doute qui reste dans le vide.

    Ce sont les doutes qui nous animent,

    sans savoir ou ils nous mèneront, ni pourquoi ils existent tout simplement.

    Je ne sais plus si je comprend, si je vois et j'entends, mais je sais que je ne sens plus.

    Je suis engourdie, et dois vivre avec cette sensation maladive jusqu'à ce que je décide de m'en débarasser.

    Ce jour viendra, plus tôt que je ne l'attendais.

    Je dois faire un choix. Je dois décider entre mes envies égoistes, mes sentiments, et le respect d'autrui.

    Je le démolie, sans même m'en rendre compte.

    Je défait ses fondations tranquilement, pour le laisser s'enfondrer en silence.

    Je le fait sans le vouloir, je le détruie lorsque je le regarde.

    Mon regard prend feu pour brûler toutes ses attentes.

    Elles brûlent cependant pour mieux revenir,

    Elles reviennent sans cesse, comme un insecte qui vous ronge.

    Ce sont des attentes surréalistes, clichés je dirais même.

    Je n'ai aucune envie de me perdre dans le cliché et la conformité.

    Ma vie n'est pas conforme, je ne le suis pas et ne veux pas l'être.

    Son âme est déja meurtrie, depuis longtemps.

    je ne peux pas guérir toutes ses blessures,

    Je n'en ai pas la force.

    Je ne peux pas donner sans arrêt, car je me vidrai,

    Pas de mon sang mais bien de mon être.

    Nous sommes malsains et nous le savons,

    Il faut que quelqu'un agisse maintenant.

    Je trouve triste que ce doive être moi,

    Car je suis celle qui décoie,

    Celle qui dit non et tourne la tête

    je suis celle qui ne peut être comme tout le monde.


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    La bruine humidifie la ville.

    Mon éveil est lent.

    Je dois me rendre la-bas, ca signifie sortir de chez moi,

    Je n'ai pas la force,

    Je serais restée allongé bien longtemps,

    Je suis fatiguée,

    Meurtri par toutes mes pensées,

    Ma tête est lourde, comme si je devais y extraire quelque chose.

    Mais je vais bien, je sens ma liberté prendre sa place en moi,

    C'est peut-être cela qui me fait peur justement,

    Plus rien tout d'un coup, c'est comme un choc.

    Le stress m'habite chaque jour, et voila qu'il n'est plus la.

    Je me sens vide sans lui, il était mon compagnon de voyage.

    Mais je me sens à l'aise de lui dire au revoir, parce que j'ai besoin d'une pause.

    Il me reste une vie à mener.


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    Journée bien triste aujourd'hui.

    La pluie qui tombe ne fait qu'encourager les larmes de couler.

    Je le sais bien, elles sont la depuis un moment.

    Mais je n'arrive pas à être honnête avec moi-même.

    C'est un sentiment malsain qui m'anime.

    Mes actes son guidés par une soif inconnue.

    Ou bien par l'absence de cette soif, justement.

    Parfois je me sens tellement différente, incomprise.

    C'était jadis un de mes plaisir, mais dorénavant, cela me rend malheureuse.

    J'aimerais seulement quelqu'un qui puisse me prendre comme je suis,

    D'être aussi étrange que quelqu'un.

    Je suis épuisée de me justifier, épuiser de devoir forcer un comportement qui n'est pas mien.

    Le respect des autres est important, mais que fait-on de celui de nous-même.

    Certains ne comprennent pas ce mot, le respect de soi-même.

    Comment pouvons-nous ne pas se respecter?

    Et bien, moi je le sais. Et ce n'est pas bien compliqué.

    Il faut seulement arrêter de guider nos gestes pour les autres,

    Se concentrer sur ce que nous avons besoin.

    Le respect des autres viendra après.

    Nous ne pouvons être en paix avec les autres, lorsque notre coeur et notre corps ne sont pas en symbiose.

    Notre âme mérite paix.

    Et puis voila que je ne sais plus,

    Qu'un jour c'est une chose, puis l'autre quelque chose de tout à fait différent.

    Je ne sais plus où se situent mes désirs, je les ai perdu en chemin.

    Ils sont restés là-bas, où il y avait le bonheur simple de la découverte.

    La découverte s'est transformée en connaissance, puis elle s'est estompée,

    Pour ne plus rien donner du tout. Je dois creuser, pour trouver l'essence pur.

    J'ai beau creuser, j'en trouve de moins en moins.

    Mais pourtant on m'en demande de plus en plus.

    Comment dire qu'on ne peu plus donner lorsqu'on ne recoit pas ce dont on a besoin.

    Je me perds dans mes pensées phylosophiques, dans mon monde trop profond.

    Oui, on me trouve trop profonde, et je le suis.

    Resté en surface me dérange, à un telle point que ca m'enrage.

    Ne parlons pas des profondeurs de l'océan, car elles m'étouffent.

    Oui, elles m'étouffent, car je suis seule dans ses entrailles.

    Seules à disparaître, à m'éffacer, pendant qu'il se construit, qu'il apprend de ces erreurs.

    Elle est si comprénsive cette Camille, elle écoute, puis répond sagement,

    Sans vouloir la guerre, elle trouve seulement le moyen de réunir les soldats.

    Ces soldats désinvoltes, qui ne cessent de s'enfuir puis de revenir,

    Sans savoir ce qu'ils veulent vraiment.

    Oui ses pensées sont changeantes, difficiles à suivre.

    Je dois être à la course sans cesse, pour les rattraper.

    Mais je n'ai pas d'endurance, je n'aime pas courir. Ca me donne des crampes au ventre.

    Et elles laissent des marques, si on ne les soigne pas.

     


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