• L'incompréhension avec un grand I

     

    Des mois d'imcompréhension,

    de questions existencielles,

    Elles n'aboutissent nulle part et ne le feront jamais.

    Un mur de glace nous sépare,

    Il bloque le chemin et la venue de tous ces sentiments,

    Mais lui est de feu, il peut le transpercer,

    mais je reste de glace, donc je ne fais que l'entendre.

    Mes gestes sont invisibles, surtout pour lui.

    Mais il a raison, ils le sont probablement.

    C'est parce que mes gestes doivent être guidés par des pensées, des désirs,

    et ceux-ci sont presque inexistants dorénavant.

    Je ne sais pas comment je pourrais rester dans cette course qui tourne en rond sans cesse,

    Mais je crois que je dois faire comme je fais toujours, suivre mon intuition,

    Mais cette fois-ci elle ne me dit rien de très bon.

    C'est mauvais, je le sens. C'est malsain, tel un doute qui reste dans le vide.

    Ce sont les doutes qui nous animent,

    sans savoir ou ils nous mèneront, ni pourquoi ils existent tout simplement.

    Je ne sais plus si je comprend, si je vois et j'entends, mais je sais que je ne sens plus.

    Je suis engourdie, et dois vivre avec cette sensation maladive jusqu'à ce que je décide de m'en débarasser.

    Ce jour viendra, plus tôt que je ne l'attendais.

    Je dois faire un choix. Je dois décider entre mes envies égoistes, mes sentiments, et le respect d'autrui.

    Je le démolie, sans même m'en rendre compte.

    Je défait ses fondations tranquilement, pour le laisser s'enfondrer en silence.

    Je le fait sans le vouloir, je le détruie lorsque je le regarde.

    Mon regard prend feu pour brûler toutes ses attentes.

    Elles brûlent cependant pour mieux revenir,

    Elles reviennent sans cesse, comme un insecte qui vous ronge.

    Ce sont des attentes surréalistes, clichés je dirais même.

    Je n'ai aucune envie de me perdre dans le cliché et la conformité.

    Ma vie n'est pas conforme, je ne le suis pas et ne veux pas l'être.

    Son âme est déja meurtrie, depuis longtemps.

    je ne peux pas guérir toutes ses blessures,

    Je n'en ai pas la force.

    Je ne peux pas donner sans arrêt, car je me vidrai,

    Pas de mon sang mais bien de mon être.

    Nous sommes malsains et nous le savons,

    Il faut que quelqu'un agisse maintenant.

    Je trouve triste que ce doive être moi,

    Car je suis celle qui décoie,

    Celle qui dit non et tourne la tête

    je suis celle qui ne peut être comme tout le monde.


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